En lieu et place de la formation formatée, il existe une formation personnalisée, déclinée en trois temps, et basée sur les vraies demandes et besoins des participants. S’y ajoute une mise à niveau préalable, un cursus composé de cas concrets ainsi qu’une assistance d’1 an à l’issue de la formation : bienvenue dans l’univers de l’agilité.
« Ça n’ira pas. Ça ne m’intéressera pas. Ça va louper » : la salle de formation se laisse aller en exhalaisons plaintives. Qui n’a pas connu la décevante sensation de ne pas suivre la « bonne » formation ? Celle qui lui convient vraiment, celle qui le fera réellement évoluer et qui lui fera sauter les haies des obstacles professionnels, avec l’agilité primesautière d’un écureuil ?
Il faut dire que le temps ouvre sans cesse aux salariés de nouveaux champs d’action, en matière de formation. De quoi allumer tous les feux de l’enfer dans la tête du candidat : comment peut-il choisir correctement, farfouillant dans cette espèce de listing immense qui n’est pas sans évoquer la carte d’un restaurant chinois ? Et, une fois le choix effectué, combien de ces formations finissent par s’avérer décevantes, car non appropriées ?
Pour que les candidats à la formation ne rôtissent plus dans l’immense magma des choix, des hypothèses et des plannings imposés, et pour que l’entreprise puisse s’appuyer sur un candidat heureusement et efficacement formé, nous proposons des formations « à la carte », personnalisées et en trois temps.
1. Les prémices : le sur-mesure
Exit, le menu façon resto chinois. Place au sur-mesure. Tel un tailleur italien, c’est en fonction du candidat lui-même que nous élaborons le contenu de sa formation. On écoute. On mesure. On fait passer des tests de niveau. Et, grâce à ce cursus cousu main, concrètement adapté aux besoins formulés par le candidat lui-même, et qui tient compte de ses conditions de vie, le futur « formé » va se sentir directement impliqué, dans sa formation. Réellement concerné. Résultat ? Pour lui, lorsqu’il découvre ce qu’on lui a concocté, via une première vidéo on-line, c’est l’assurance d’une pleine participation et la satisfaction d’avoir été entendu. Pour son entreprise, c’est le gage de bien avoir investi ses deniers et de pouvoir compter sur un retour sur investissement. S’il arrive que le candidat ait quelques lacunes, une vidéo de mise à niveau lui sera fournie, avant que ne démarre sa formation.
2. Dans le grand bain : une formation pratico-pratique
Etienne, Rachida et Lisbeth ont beau tous travailler dans la même entreprise, leurs besoins, leurs questionnements ne sont pas forcément les mêmes. Une fois leurs attentes analysées, chacun travaillera sur des cas concrets, des fichiers ou des applications qui lui posent souci au quotidien. Fi à la théorie. L’heure est aux exercices pratiques. Tout comme les formations proposées, les formateurs font-eux aussi – preuve de souplesse et d’agilité.
3. Le suivi : jamais seul, pendant 1 an
Une fois la formation achevée, c’est l’heure du bilan. Il s’agit, pour le salarié formé, de rassembler les évidences, de faire le point, la synthèse et – surtout – de mettre en œuvre ses nouveaux acquis. Mais, curieusement, alors que ça avait l’air si simple, quand le formateur besognait telle application, quand le candidat s’y met, c’est une autre affaire : l’appli en question se cabre, se bloque, se fige. Rien ne fonctionne aussi bien que pendant le cours. On se détend : pendant un an, après la formation, un helpdesk est mis à la disposition du nouveau formé. On peut lui poser toutes les questions qu’on veut, à cet helpdesk. En sus, on dispose d’un accès en ligne à des vidéos ad hoc, liées à la thématique récemment acquise. Le mécanisme qui s’est déclenché sera entretenu, appuyé et épaulé, afin de permettre au nouveau formé d’en faire une habitude, un réflexe positif et profitable pour tous. Ainsi, le scaphandrier de la formation professionnelle peut enfin mettre un terme à son errance, dans la solitude des questions non résolues.
Il peut retirer son casque. Respirer. Lui aussi, est devenu… agile.